Samedi 31 juillet 2010 à 3:21

Ca fait longtemps que je ne suis pas venue ici. A vrais dire ça fait longtemps que je n'ai pas écris.
Mais il fait nuit, mon homme dors à côté de moi... C'est en le regardant et en lisant ces vieux article que m'est venue cette envie subite d'essayer d'écrire. Juste pour voir.
Il y a à peine un an je pensais n'être capable d'inspiration que lorsque les choses allait mal et puis il m'a apprit le contraire. Alors voyons. 

Cette musique de fond qui parle d'amour. Une cigarette. Lui... Surtout lui en fait.
Parce qu'en vérité il rythme ma vie depuis bientôt un an... Et c'est bizarre comme le temps d'avant lui  me semble loin, presque comme s'il s'agissait d'une autre vie. D'un autre moi.
Ajouté une personne dans votre vie et parfois il faut tout chamboulé pour retrouver son équilibre. J'ai laissé certaines choses derrière moi. J'ai brusquement changé de voie.
Je sais qu'il y a toujours des traces en moi, d'avant. Mais quand parfois tout ça me manque... un peu, je le regarde et je sais que j'ai fais le bon choix.
C'est pas toujours facile mais il y a une fin a tout.
Il m'est encore difficile d'être sur de ce que je ressens. Il est là, toujours présent. Ca m'étonne encore parfois. Mais le regarder m'apaise la tête et le coeur. Il dort si paisiblement.
Il a ce caractère posé, plus de drame, plus de nuit en pleure. Cette merveilleuse routine pleine de chaleur, de rire...

Je crois que ce passage de ma vie me plait bien.

Je ne peux pas trop en dire sur lui... Je n'ai pas les mots. Et tout ça ne veut certainement dire quelque chose que pour moi. Mais le temps d'écrire j'ai redécouvert ce sentiment de plénitude sereine que je ressens en posant les mots et les sensations qui se bousculent en moi.
Ca me plait bien.
Je reviendrais... Peut être dans un an...


Mardi 15 septembre 2009 à 22:04

Quand on vit quelque chose de beau et qu'on en a plus l'habitude, on se dit que ça ne va pas durer. 
Quand ça dure alors qu'on ne s'y attendait pas, on trouve ça louche, on pense qu'il a quelque chose à cacher.
Quand on s'aperçoit qu'il n'y a rien de monstrueux à découvrir, on est désemparé et souvent même on a peur.
Peur, car on se rend compte que nous n'avons aucune excuse pour fuir l'engagement.

Ces trois états m'ont traversé si rapidement que je ne m'en suis pas rendue compte.
Tout ce dont je me souviens, se sont ses yeux et son sourire qui m'accompagne depuis quelques semaines maintenant.
Cette présence si rassurante qu'elle en est déconcertante.

Quand votre esprit refuse de fonctionner rationnellement, paralyser par son charme.
Quand votre vie n'est plus rythmé que par vos rencontres et par le temps que vous passez ensemble.
Quand vous n'êtes plus capable que de penser à lui, que vous ne pouvez plus contrôler vos gestes face à lui.
On s'aperçoit que la sensation de danger est encore présente mais enfouie si profondément. Sous l'euphorie, le désir, le bonheur, la quiétude et l'apaisement. Que ça n'a plus aucune importance...

Jeudi 27 août 2009 à 17:26

"Je ne t'aime plus... mon amour
Parfois j'aimerais mourir tellement j'ai voulu croire..
Je ne t'aime plus... mon amour
Parfois j'aimerais mourir tellement y a plus d'espoir...
Je ne t'aime plus... mon amour
Parfois j'aimerais mourir pour plus jamais te revoir !
Je ne t'aime plus... Mon Amour."

Parfois les personnes dont on attend beaucoup sont celles qui nous déçoivent le plus et dont on ne devrait rien attendre.
Mais pour autant, il ne faut pas arrêter de croire...
Lorsque l'on perd confiance en l'homme et en sa capacité à aimer on se perd soi même...

http://black-flowers.cowblog.fr/images/DSC00150.jpg

Jeudi 21 mai 2009 à 22:28

Tout est en un (Abraham).
Tout est amour (Jésus-Christ).
Tout est économique (Karl Marx).
Tout est sexuel (Sigmund Freud).
Tout est relatif (Albert Einstein).

Et ensuite ?...

Lundi 27 avril 2009 à 18:19

Engluée dans la masse. J’ai la tête qui éclate mais personne ne le voit. Mal. Pourquoi ? Pour qui ?
Pour tout et n’importe quoi. Juste une impression de mal être. Cette chose ne veut pas disparaître. Manque. De tout. De lui, de moi, de nous. Cœur déchiré, partagé. Lui. Mon tout, ma vie, mon âme. Cet autre. Rencontre inattendue. Je m’en suis peut être éprise. Mais je crois qu’encore une fois il y a eu méprise… Il ne voulait pas de moi comme je voulais de lui. Alors voilà. Retour à la case départ. Retour aux sources. Larmes de solitude qui ne veulent plus rien dire tellement elles ont souvent coulé.
Alors voilà. Engluée dans la masse. Dans cette boîte de nuit sans nom. Des mains passent sur mon corps. Des lèvres m’effleurent. Les yeux fermés. J’voudrais oublier jusqu’à mon nom. L’odeur d’alcool qu’ils dégagent suffit à m’enivrer. Croire encore. Oui ils peuvent me faire oublier. Même si c’est juste pour ce soir. Le temps d’une cigarette. Ouvrir les yeux. L’air est froid, tellement que ça fait mal de respirer. Voir ces regards réprobateurs. Ils me croient ivre. Après tout je me fiche de tout ça. Les gens peuvent bien penser ce qu’ils veulent. Retour à la foule. La chaleur. La musique. L’odeur d’alcool. Et de nouveau les yeux fermés. Des mains sur moi…
Peu m’importe. Cette nuit je n’existe plus. Cette nuit j’ai trop mal. Cette nuit j’oublie. Engluée dans la masse.



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